À chaque apparition, Lady Ponce sait faire parler d’elle, que ce soit par sa musique entraînante, son franc-parler ou ses choix vestimentaires. Et cette fois, la star du bikutsi semble avoir franchi une ligne rouge, à en croire le torrent de réactions suscités par l’une de ses dernières tenues de scène.
Après un tabac sur tiktok, la Lionne Indomptable de la musique camerounaise Lady Ponce a présenté le vidéoclip de son titre « Je veux danser » , à découvrir ici
La tenue osée qui divise
Lors d’un récent concert, la chanteuse est apparue sur scène avec une matelot vert qui expose son sous-vêtement et tout son postérieur, performant sur sa dernière trouvaille musicale « Je veux danser« .

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Sur les réseaux sociaux, la vidéo de la performance est devenue virale. Plusieurs internautes dénoncent un manque de pudeur de la star du bikutsi :
« C’est ça qu’on appelle la route vers la déchéance. D’une vulgarité sans précédent », « De la vulgarité à la déchéance. C’est malheureux« , « Vulgarité à son âge » peut-on lire en nombre sur la toile.



Plusieurs autres internautes en revanche ont salué la capacité de Lady Ponce à faire parler d’elle à la moindre occasion:
« Quand Lady voudrait que vous parliez d’elle, elle se met alors à votre niveau. Elle a fait exprès de s’habiller ainsi « , « Quand c’est Jennifer Lopez vous appréciez mais comme c’est Lady Ponce chacun sort sa bouche pour parler« , soutiennent- t-ils.


« Je fais de ma vie et de mon corps ce que je veux «
Lors d’un entretien avec Laura Dave Média en février dernier, l’artiste, interrogée sur ses choix vestimentaires nous avait répondu en ces termes: « Je fais de ma vie et de mon corps ce que je veux « .

Ce n’est pas la première fois que la chanteuse s’illustre par des tenues spectaculaires. Depuis des années, Lady Ponce fait du style une partie intégrante de son identité artistique.
Elle n’est pas d’ailleurs la seule à adopter des looks extravagants sur scène. Bien d’artistes, de l’ancienne ou nouvelle génération, n’hésitent pas, elles aussi, à jouer avec les codes de la sensualité. Mais la « Ponceuse« , de par son statut d’icône du bikutsi et son influence dans le paysage musical camerounais, cristallise davantage les réactions.

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Ève-Pérec N.BEHALAL