Malgré sa stature imposante et sa force de frappe reconnue, le Camerounais Derrick Sokoudjou n’a pas pu resister à la puissance des poings du colosse sénégalais Moustapha Diakhaté dans l’octogone de l’Adidas Arena de Paris le 14 février 2025. Pour son grand retour dans l’ARES Fighting Championship dans la catégorie poids-lourd léger, « Exterminator » est tombé les armes à main, au 1er round.
Un dénouement rapide et surprenant
C’était un combat de colosses qui s’est déroulé le vendredi 14 février 2025 à l’Adidas Arena de Paris, l’un des combats les plus attendus de cette nuit de l’ARES Fighting Championship.
Dès le début du combat, les deux athlètes ont montré une grande détermination. Derrick Sokoudjou, qui y arrivait avec sa réputation de « demolition man« , après avoir remporté en octobre 2024, par décision unanime du jury, son premier combat à l’Ares Fighting Championship face au mexicain Jesus Sanchez. Cependant, après seulement 1 minute et 50 secondes, Pape Moustapha Diakhaté a réussi à placer une série de coups successifs et décisifs, menant à un KO/TKO par frappes. Un service express qui a aider à confirmer la montée en puissance de Diakhaté sur la scène internationale du MMA.
𝗣𝗼𝘂𝗿 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗱’𝗶𝗻𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗣𝗲𝗼𝗽𝗹𝗲, 𝗮𝗯𝗼𝗻𝗻𝗲𝘇-𝘃𝗼𝘂𝘀 𝗮̀ 𝗻𝗼𝘁𝗿𝗲 𝗰𝗵𝗮𝗶̂𝗻𝗲 𝗪𝗵𝗮𝘁𝘀𝗔𝗽𝗽 en cliquant sur je m’abonne
Moustapha Diakhaté, une machine à coups qui marque les esprits
Avant son arrivée dans l’octogone cette nuit là, Moustapha Diakhaté avait salué l’esprit guerrier de son adversaire:
« Je le respecte pour avoir accepté ce combat, avec le tueur que je suis. Beaucoup auraient refusé« .
Depuis son arrivée en Belgique, le combattant sénégalais n’a cessé de démontrer son incroyable talent en Arts martiaux. Lors de la conférence de presse d’après combat, Moustapha Diakhaté s’est montré très ambitieux. Le combattant compte ramener avec lui la ceinture de champion du monde de MMA des – 93 kg.
Cette rencontre du 14 février à
l’ARES 29 restera gravée dans les mémoires comme un moment fort de la compétition, illustrant le talent et la détermination des combattants africains sur la scène.
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William Nlep