Alors que le Cameroun vit au rythme d’une crise post-électorale marquée par la méfiance et les clivages, l’artiste engagé Georges Dickson fait le choix d’un message d’unité et de fraternité. Avec son nouveau single « La paix est bien », dans une interview accordé à Laura Dave Média ce mercredi 05 octobre l’artiste invite les Camerounais à raviver la flamme du vivre-ensemble et à retrouver l’amour du pays, dans un contexte où la paix apparaît plus que jamais comme une nécessité absolue.
Un message né de la foi et du cœur
Dans un climat social tendu, Georges Dickson choisit la voie de la réconciliation. Son inspiration, il la tire des Écritures. « Le Christ, avant de partir, a dit : “Je vous laisse ma paix, pas la vôtre, mais la mienne.” » explique-t-il avec conviction. Pour lui, ce message biblique demeure d’actualité : « Il y a un temps pour la guerre, mais aussi un temps pour la paix. Et la paix n’est pas une alternative, c’est une nécessité absolue. » Par cette chanson, l’artiste veut rappeler que la paix n’est pas qu’un mot, mais une valeur à vivre au quotidien, un socle pour reconstruire les liens brisés entre les fils et filles du Cameroun.

Pour ne rien rater sur l’actualité people abonnez-vous à notre chaîne whatsapp en cliquant sur je m’abonne…👇🏿👇🏿
https://whatsapp.com/channel/0029Vax9xnDA89MjE14EYO2Q
La paix, moteur du vivre-ensemble
« À travers la paix, on développe l’amour », confie-t-il. Pour Georges Dickson, la musique est une arme douce mais puissante : elle unit, elle soigne, elle éveille. « C’est de là que vient mon inspiration pour ce titre », ajoute-t-il. En prônant le partage et la fraternité, l’artiste rappelle l’importance du vivre-ensemble et du manger-ensemble symboles forts d’un peuple qui doit rester uni face aux divisions. Dans un pays où les tensions politiques et identitaires menacent l’équilibre social, son message résonne comme une prière mise en mélodie.
Un cri d’espérance pour le Cameroun
Loin des discours fatalistes, Georges Dickson croit en l’avenir du pays. « Ne baissez pas les bras, nous traversons une période difficile, mais elle passera », affirme-t-il, persuadé que le Cameroun est à l’aube d’un renouveau. Il voit dans cette crise une étape spirituelle : « C’est le chemin de croix du Cameroun, mais il arrive à sa fin. » Pour lui, la paix reste la seule voie pour reconstruire la nation et redonner confiance à un peuple meurtri.

Un appel à l’unité nationale
Face à ceux qui prônent la division, l’artiste se montre ferme : « Certains veulent que le Cameroun brûle, mais je les invite à relire l’histoire de ceux qui se sont battus pour que notre pays reste debout. » Georges Dickson refuse le tribalisme, la condescendance et l’orgueil, plaidant pour une union sincère. « Le Cameroun est pour nous tous, et nous ne pouvons le bâtir qu’ensemble. Le Seigneur m’a donné un très beau pays, je n’irai pas chercher une nationalité ailleurs. »
Avec « La paix est bien », Georges Dickson signe plus qu’une chanson : un acte citoyen, un cri d’amour pour sa patrie et une main tendue vers un Cameroun réconcilié.

Georges Dickson révèle la face cachée des droits d’auteurs au Cameroun.
Pour en savoir plus cliquez ici
William Nlep





