Le Volley-ball camerounais ne se relève décidément pas de ses multiples combats. Les faits divers ont pris le pouvoir et rien ne semble en mesure d’arrêter les belligérants de la crise. Deux entraîneurs viennent d’être nommés séparément pour diriger l’équipe nationale féminine au prochain championnat du monde.
Abouem et Bourdanne toujours à couteaux tirés
Conforté dans son combat avec Bello Bourdanne pour le poste de président de la Fecavolley par une décision de justice en sa faveur, Serge Abouem a nommé il y’a de cela quelques jours René Akono au poste de sélectionneur de l’équipe nationale féminine du Cameroun. Une décision importante car les filles doivent entrer en stage d’ici peu pour préparer les championnats du monde qui vont avoir lieu au mois d’août prochain. seulement, quelques heures après cette nomination, Bello Bourdanne qui se réclame et agit en tant que président de la fédération depuis plus de 2 ans avec le soutien du Minsep procède également à la nomination d’un coach expatrié de nationalité brésilienne du nom de Tarso Milagres.
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Le Cameroun vers une disqualification au championnat du monde?
Dans ce contexte délétère, il est difficile d’entrevoir le bout du tunnel. Les deux factions vont sortir les muscles pour s’imposer et l’équipe nationale féminine du Cameroun va probablement être la grande victime de cette situation. Pour éviter le Chaos , le gouvernement doit impérativement siffler la fin de la récréation et trouver un consensus. Il en va de la participation du Cameroun au prochain championnat du monde
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Georges Mbimbè