À travers une conférence de presse donnée ce 29 avril 2025 à Bonanjo, la présidente nationale du SNJC a dévoilé le programme de la 3è édition de la semaine de la presse
L’événement devient une tradition, et pour cette année, le Syndicat National des Journalistes du Cameroun en est à sa troisième édition. La semaine de la presse, puisqu’il s’agit d’elle est organisée en prélude à la journée internationale de la liberté de la presse que le monde célèbre tous les 3 mai.

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Un syndicat fidèle à sa lutte
Tout comme les deux précédentes éditions, la semaine de la presse 2025 est marquée par une activité dense dont le point d’orgue est prévu le 3 mai. Dans la région du littoral, outre le lancement qui s’est fait ce mardi 29 avril, le SNJC prévoit entre autre, dès ce mercredi 30 avril, un débat avec les étudiants de la filière journalisme et communication d’un institut privé dans la ville de Douala.
Une table ronde est également prévue pour discuter de l’impact de l’IA dans le traitement de l’information et sur la liberté de la presse. Samedi 3 mai 2025, un rassemblement est prévu à la place du gouvernement à Bonanjo, suivi de la lecture des différentes déclarations, mais également un vernissage à partir de 14h, car il est important « de montrer les visages de la liberté de la presse au Cameroun » selon Marion OBAM, présidente nationale du SNJC.

Une importante activité dans les autres régions du Cameroun
Il faut noter que la région du Littoral n’est pas la seule en mouvement. Dans les neuf autres régions, des activités sont tout aussi prévues pour commémorer cette 32è édition de la JILP. Le SNJC a, par exemple des projets d’Awards dans le Nord-Ouest, la relance des clubs journaux à Maroua ou encore des projets de festivals dans le Sud.
Toutes ces activités ont un but précis: faire connaître davantage le Syndicat et insister sur la revendication des droits du journaliste.
Un rappel a d’ailleurs été fait sur la situation de la liberté de la presse au cours de cette conférence, et le moins qu’on puisse dire, le Cameroun peine à devenir un bon élève.


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Michel Vrignaud