Après la signature d’un contrat de management de cinq ans avec Roc Nation, le label de Jay-Z, la chanteuse nigériane Ayra Starr est au cœur d’une polémique virale autour de clauses jugées particulièrement contraignantes.
Une clause jugée « inhumaine »
Tout est parti d’un podcast devenu viral, dans lequel il est affirmé que le contrat liant Ayra Starr au label Roc Nation renfermerait des clauses jugées « abusives ». Parmi elles : l’interdiction pour la chanteuse de tomber enceinte durant les cinq prochaines années, l’obligation de rester célibataire pendant toute la durée du contrat, ainsi qu’un contrôle rigoureux de son image publique, de ses publications sur les réseaux sociaux et de ses collaborations artistiques.

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Ces révélations ont choqué de nombreux internautes qui dénoncent une forme « d’exploitation moderne » des artistes africains par les grandes maisons de disques internationales.
La réaction d’Ayra Starr
Face à l’emballement médiatique, Ayra Starr a réagi ce lundi 28 juillet sur son compte X :
« Does Ayra Starr know about this? » (entendu en français Est-ce-que Ayra Starr est au courant de cela?), a-t-elle écrit sans entrer dans les détails de son contrat.
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Roc Nation, à la conquête de l’Afrique
Ce tollé survient alors que Roc Nation intensifie sa présence sur le continent africain, à la recherche de nouveaux talents à exporter. Le label multiplie les partenariats, les séances de repérage et les collaborations stratégiques. La signature d’Ayra Starr, déjà star montante internationale, marque une étape forte dans cette expansion.
Cependant, aucun communiqué officiel de Roc Nation ou de Mavin Records, son label d’origine, n’a été publié pour clarifier la nature exacte de l’accord.

Cap sur l’international
La chanteuse de « Rush » poursuit néanmoins sa montée en puissance. Avec Roc Nation à ses côtés, elle ambitionne de conquérir les grandes scènes mondiales. Tournées, festivals, collaborations à venir.
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Ève-Pérec N.BEHALAL





