Penielle Nsamba, l’ex-femme du chantre et pasteur congolais Mike Kalambay semble être bord du suicide. Divorcée depuis 2019 de Mike Kalambay, Penielle a laissé sur sa page Instagram une longue lettre où elle énumère ses dernières volontés, après avoir pendant des semaines diffusé sur ses pages sociales une série de vidéos dénigrantes et d’appel au boycott de son ex-mari.
Rien ne va plus pour Penielle Nsamba, l’ex-femme du célèbre chanteur congolais de gospel Mike Kalambay. C’est en tout cas ce que pensent bon nombre d’internautes qui ont lu sa dernière publication sur Instagram le 15 mai dernier. L’influenceuse américano-congolaise y a fait une sorte de testament où elle énumère ses dernières volontés.
Des noms des bannis à ses obsèques à son genre d’inhumation en passant par ses désirs de mère pour ses enfants et la personne autorisée en s’en charger après sa … disparition : ‹‹ Je ne veux pas que mes parents assistent à aucun mémorial. Toutes les démarches doivent être planifiées et prises en charge par ma grande sœur/tante, Tantine Anny. Si des fonds sont collectés en mon nom ou au nom de mes enfants, SEULEMENT Tantine Anny, dont le nom légal est Misenga Anny Mbombo, à un mot à dire. Je ne veux pas être enterré. Je veux la crémation et que mes fils décident ce qu’ils veulent faire de mes cendres lorsqu’ils seront assez grands ››.
Depuis sa séparation en 2019 d’avec Mike Kalambay après 6 ans de vie commune couronnés de deux maternités, Pénielle Nsamba semble avoir touché le fond : ‹‹ Shaddai et Zion, je vous laisserai des lettres que je vous ai écrit ces deux dernières années. Quelqu’un viendra les donner à Mémé Anny et elle vous les donnera quand elle sentira que vous êtes prêts. Il contient tous les e-mails ainsi que tous les mots de passe. Vous seul saurez comment y accéder. C’est notre secret, souvenez-vous de NOTRE SECRET. Il vous guidera ››.
Entre sa séparation d’avec l’homme avec qui elle s’est mise après son divorce pour violences, divulgation de ses sextapes et violences diverses qu’elle aurait régulièrement subies de la part de son ex-mari, le feuilleton est loin d’être terminé. Aux premières accusations s’ajoutent celle du refus de son ex-mari à la laisser voir ses enfants.
Celle qui a lancé le boycott du concert de son ex-époux Mike Kalambay prévu se tenir au Zénith de Paris le dimanche 26 mai 2024, s’insurge contre l’organisation d’un tel évènement affirmant qu’il serait : ‹‹ inconcevable que dans une période d’éveil autour des violences faites aux femmes en France, une personne accusée d’avoir commis de tels actes puisse se produire à Paris ». Pour elle, ‹‹ c’est une insulte aux victimes passées, présentes et futures »
Elle en a profité pour lancer une pétition pour demander l’annulation de ce concert. Une façon selon elle de « se montrer solidaires aux victimes de ce fléau qu’elle a elle-même subi. Contre les violences faites aux femmes ».
Mike Kalambay, artiste gospel, auteur compositeur et pasteur n’a pas encore réagi à ces « dernières volontés » de son ex-femme. Mais récemment, l’artiste avait déclaré dans l’émission Enquête Chrétienne que: «battre sa femme, ca arrive a tout le monde. Meme Dieu, dans son amour, frappe ses enfants». Parlant des accusations d’infidélités, il avait réagi il y a 4 ans, soit un an après son divorce, demandant aux femmes citées par son ex comme ses amantes de « pardonner les égarements de son ex » est pour l’instant concentré à l’organisation de son prochain concert en France. Si le chantre est condamné par une frange de la population congolaise, il bénéficie du soutien de certains de ses fans qui ont à leur tour émis une pétition pour que le concert se tienne comme prévu, défendant la liberté artistique et le droit du public à déguster la musique du célèbre chantre.
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Marcelle Libawo