Dans une vidéo devenue virale, l’artiste congolais Fabregas « Le Métis Noir » présente des excuses à sa danseuse Horline, après qu’il l’a poussée à ôter sa culotte lors d’une répétition. Dans cette séquence, Fabregas admet avoir commis un acte offensant envers les femmes.
Après avoir été au centre d’une controverse suite à une vidéo le montrant pousser sa danseuse Horline à se déshabiller en public,
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Fabregas Le Métis Noir semble avoir pris conscience de la gravité de la situation. Dans une nouvelle vidéo partagée hier 7 mai 2024 sur les réseaux sociaux, l’artiste congolais a présenté ses excuses à la jeune femme.
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Ce geste marque un premier pas vers la résolution d’une situation qui avait suscité une indignation générale.
Le producteur du label Wanted records a également exprimé ses excuses à l’égard des femmes et à ses fans à travers le monde, reconnaissant les avoir offensés par son action : « Je viens par cette petite vidéo pour demander pardon à toutes les femmes du monde, pour demander pardon à tous les mélomanes de la bonne musique » a-t-il déclaré. Cette reconnaissance contraste avec son attitude initiale de déni où il avait rejeté la responsabilité sur son employée.
Ce « mea culpa » intervient après que le chanteur a reçu des critiques de la part de ses proches, le poussant à une prise de conscience : « Depuis hier mon téléphone n’arrête pas de sonner. J’ai reçu beaucoup de messages. Cette vidéo a choqué beaucoup de personnes en commençant par mon manager, mon équipe, mes amis, ensuite ma femme, mes parents et ma belle-famille. Cet acte ne me ressemble pas du tout […] Je demande à toutes les personnes qui sont tombées sur cette vidéo de me pardonner ».
Des remords qui ne satisfont pas pour autant certains internautes qui pensent que la star congolaise devrait être sanctionné : « C’est bien de présenter des excuses, mais l’homme qui est venu baisser sa culotte doit être sanctionné », « Pardon oui, mais il faut réparer le préjudice causé « , » le pardon n’exclut pas la justice « , « Malgré ça, tu mérites une rééducation d’au moins 6 mois », peut-on lire dans les commentaires. L’argument avancé par tous : « les artistes se doivent d’être des modèles positifs et se doivent de s’écarter de ce genre de dérapage ».
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Rosy Mireille Nanjip