Cheick Ahmed al-Hassan Sanou, connu sous le pseudonyme de Iron Biby, a été solennellement honoré par le président Ibrahim Traoré le mercredi 18 septembre dernier. La cérémonie marque une reconnaissance nationale pour cet athlète au parcours hors du commun, dont les exploits internationaux ont érigé le Burkina Faso en figure emblématique du sport de force.
Le Burkina Faso a célébré l’un de ses fils les plus talentueux lors d’une cérémonie au palais présidentiel. Iron Biby, champion du monde de log lift, a reçu la « Médaille Présidentielle » des mains du président Ibrahim Traoré. https://youtu.be/ZdnjYxLcHww?si=yZ_xaMvWz5b1i3NR
Originaire de Bagasso, petite localité du centre-est du Burkina Faso, Iron Biby est devenu un symbole de réussite grâce à des performances exceptionnelles dans le domaine du log lift, qui est une discipline qui consiste à soulever des troncs de bois. Spécialiste du soulevé de rondins, il a fait ses preuves sur la scène internationale, portant fièrement les couleurs de sa nation. Âgé de 32 ans, il est détenteur de plusieurs records mondiaux et est reconnu comme l’un des meilleurs dans ce sport, où la puissance musculaire et la technique sont essentielles.
Selon les médias burkinabè, le président Ibrahim Traoré, en remettant cette décoration, a souligné l’importance de l’impact d’Iron Biby sur la jeunesse burkinabè et sur la perception du sport au Burkina Faso. Cet athlète exceptionnel, qui n’a cessé de repousser les limites de ses capacités, incarne une figure d’inspiration pour des milliers de jeunes, non seulement pour ses succès sportifs, mais aussi pour son humilité et son engagement envers son pays.
Iron Biby, au-delà des compétitions de force, se distingue par un dévouement qui va au-delà des stades. En tant qu’ambassadeur du Burkina Faso, il véhicule un message d’espoir, encourageant la jeunesse à persévérer face aux défis https://youtu.be/AMuGTyOFxoo?si=DL9qSV2oSw9O9mzP
Grâce à ses efforts, le pays est désormais reconnu sur la carte mondiale du sport extrême, une fierté que les autorités n’ont pas manqué de saluer.
Rosy Mireille Nanjip