Blanche Bahoken est une créatrice de contenu camerounaise dont la notoriété s’est acrrue suite à sa participation à la troisième saison de la télé-réalité « The Bachelor Afrique », toujours en cours. Dans une vidéo sur son compte snapchat ce mardi 29 octobre 2024, la « bachelorette » a révélé avoir échappé à une « prison » dans laquelle sont encore enfermées de nombreuses jeunes femmes en quête de beauté éphémère.
« Il y a un an, tant que je ne mettais pas de longs cils et de longs ongles, je n’étais pas en accord avec ma personne. Les adeptes des artifices me comprennent. Je ne sais pas à quel moment la transition s’est faite, mais elle s’est faite car, ça fait un bon moment déjà que je n’ai pas de faux ongles ni de faux cils. C’est peut-être la maturité, je ne sais pas« , a avoué la femme de 26 ans.
Chroniqueuse dans l’émission « On vous embarque » sur Radio Audace à Douala, Blanche Bahoken se dit fière d’être sortie de cette dépendance qu’elle qualifie aujourd’hui de « cercle vicieux » et de « secte«
« Je suis tellement fière de moi car il y a un an j’étais dans un cercle vicieux… une secte d’apparence« , a-t-elle ajouté, avant d’interpréter le titre « An Ka Di Allah Ma » du Malien Sidiki Diabaté pour remercier Dieu de l’en avoir libérée.
Même si la maxime dit que « Toutes les femmes sont belles« , de nombreuses femmes de nos jours ne peuvent plus se passer des artifices de beauté dont parle la chroniqueuse, ni de fesses et de seins artificiels pour s’assumer, ceci au détriment des sacrifices financiers que tout cela engendre et de l’impact néfaste que ces artifices ont sur la santé.
La belle Blanche Bahoken se sent désormais belle au naturel et ne se prive pas de s’en vanter partout où besoin.
Ève-Pérec N.BEHALAL