Si les autres nations s’accordent à passer le statut de favoris aux autres nations du Mondial Russe, au moins trois sortent du lot. Analyse:
À deux jours du coup d’envoi du Mondial (14 juin au 15 juillet 2018), l’Allemagne, le Brésil et l’Espagne se placent comme de sérieux candidats à la victoire finale en Russie. Présentation des forces et des faiblesses de ces trois favoris.

ALLEMAGNE

1er au classement FIFA

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Les plus : L’expérience des champions du monde 2014 (Neuer, Hummels, Khedira, Özil) qui forment l’ossature de cette équipe taillée pour les compétitions internationales.
En poste depuis 2006, le sélectionneur Joachim Löw connaît son groupe sur le bout des doigts.
La régularité de l’Allemagne, qui figure systématiquement dans le dernier carré des grandes compétitions depuis 2006.
Le moins :
L’absence d’un vrai numéro 9 pourrait faire défaut à la Mannschaft. Si Timo Werner (21 ans, RB Leipzig) donne satisfaction (6 buts en 8 sélections), sa faible connaissance du niveau international peut poser problème.

BRÉSIL

2e au classement Fifa

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Les plus : La seule présence de Neymar, capable de diffuser une menace constante sur les défenses, donne un sentiment de puissance au Brésil.
La profondeur de l’effectif. Outre son impressionnant réservoir offensif, la Seleção s’appuie également sur une défense de rêve articulée autour de Marquinhos et de ses latéraux.

L’arrivée de Tite a redonné de l’assurance à cette équipe qui ne s’est inclinée qu’à une seule reprise depuis juin 2016.

Le moins : Le traumatisme né du Mondial 2014 au Brésil va forcément trotter dans la tête des partenaires de Thiago Silva. L’aspect psychologique aura forcément son importance.

ESPAGNE

8e au classement Fifa

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Les plus : La Roja est ce qui se fait de mieux en termes de jeu. Isco et David Silva sont les garants de la patte apposée par le sélectionneur Julen Lopetegui.
La connivence entre Lopetegui et les joueurs qu’il avait lancés dans les sélections de jeunes (De Gea, Koke,…).
Son bilan au presque parfait depuis l’Euro 2016 riche de 12 victoires et 3 nuls.
Le moins : La jeunesse et le manque d’expérience de certains éléments qui vont disputer leur première Coupe du monde.

Yvan Ango

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