Après une brève absence sur Snapchat, Rosine Nguemgaing, la star du cinéma est de retour pour le plus grand plaisir de ses abonnés.
Actuellement en repos de travail en prélude au relancement de ses activités professionnelles prévu pour le mois de janvier 2023, la pépite du cinéma profite pour répondre aux préoccupations de ses fans .
À la question de savoir : »Comment a-t-elle fait pour arriver à ce niveau dans sa carrière ? »
Rosine répond :
»J’ai commencé à faire des castings dans lesquels je décrochais les rôles de figurants dans les films. Je n’avais jamais décroché un premier rôle jusqu’à ce que je décroche un second rôle dans le film » Sangou » de Ghislain Towa ,mais ce n’était pas suffisant. Je ne voulais pas être celle qu’on voit seulement derrière, heureusement les réseaux sociaux sont venus nous aider aujourd’hui et je m’en suis servie. J’ai créé des comptes tiktok et Facebook sur lesquels j’ai vraiment bossé dur. Mais il ne suffit pas seulement de créer des comptes mais de créer des contenus qui vont captiver le public, les attirer à s’abonner et à partager. C’est ainsi que j’ai créé des contenus comme les pranks, par la suite Mama Africa, les challenge sur tiktok, puis mama international qui m’a fait connaître au large public après des années. Je n’ai jamais baissé les bras parceque rien ne prennait. Mais le concept » mama international » est venu faire boum. Par la suite j’ai créé le concept »Les délires de Rosine » qui ont vraiment fait un autre boum dont je m’y attendais pas. J’ai aussi fait le casting de la célèbre série »madame monsieur » dans laquelle j’ai décroché un rôle et cela m’a ouvert beaucoup de portes ».
Rosine précise aussi qu’on peut réussir uniquement grâce à son travail :
» Ne vous dîtes pas que vous avez forcément besoin de vous salir pour réussir. Travaillez dur , c’est à dire réfléchir sur des stratégies pour réussir. La mienne a été de créer des comptes qui comptent aujourd’hui des milliers d’abonnés… Ça c’est la contribution que je pouvais vous donner ».
Une expérience qui va certainement renseigner tous ceux et celles qui rêvent devenir comme leur »mama international ».
Ève-Pérec N. BEHALAL.
